les femmes de la campagne au 19ème siècle

2 – Philomène la 2e épousa un cousin germain. Elle avait même été un an de plus à l’école chez les sœurs de Saint-Jean suivre une sorte d’enseignement ménager. (D1818-1822)Les noms des maladies rapportés « par l'officier de santé » sont souvent mystérieux : ainsi Marie-Jeanne Pillet est décédée de « fièvre muqueuse adenamique » un autre de « leucophematie simptomatique » S . Alphonse, un doux géant blond, à la moustache conquérante. 4) La frugalité de la nourriture, la modestie de la mise : Elle était originaire des Émis (la ferme dont mon père a étudié les archives) à quelque 2 km de Rechaussat. Mais avant la naissance, elle fut demandée en mariage par Jean Combe, sur un chemin. Il fallait charger les corbeilles de linge sur des brouettes, on n’avait aucun moment pour soi. L’exploitation ne suffisant pas à faire vivre la famille, le père s’embaucha pour creuser la tranchée du chemin de fer à Saint-Julien. Un style dont il reste encore des traces que je me plais à traquer dans les environs. Cf. Quand mon grand-père fut assez grand pour l’aider, elle avait la situation bien en main et en 1881 elle fit reconstruire une partie des bâtiments. Les quatre autres vécurent plus. Trouvé à l'intérieur – Page 144Par exemple: Audience du tribunal correctionnel le 2 août 1845: -Femme Constant, ... Mathias Trompette, cultivateur à la campagne à quelques lieues d'ici. Dans le clos de madame Nicolas, il y avait un asile d’aliénés. Elle avait laissé une abondante correspondance avec sa mère (seulement les lettres venant de la mère, il y a là une chronique des potins de Boën dans les années 20 – 30 qui peut être intéressante) et des cahiers où elle exposait ses états d’âme. Mon père ne lui a jamais pardonné d’avoir fait un autodafé de livres envoyés par des cousins. 1 - Lélie, l’aînée qui resta célibataire. La difficulté est grande pour les filles, souvent accueillies en intruses dans les belles-familles. Le sommier était une telle nouveauté que le menuisier de Saint-Didier gardait secret la façon de le monter et envoyait son commis faire une commission lointaine quand il en faisait un pour qu’il ne divulgue pas le secret ; (Le lit en question j’y ai couché. Les rituels du mariage dans les campagnesCette gravure de Joseph Bellangé représente le moment où, lors d'une noce villageoise en Basse-Normandie, la belle-mère apporte le trousseau de la mariée dans une charrette attelée de deux vaches . Madame Piroche : Génie ; Annette. En effet, une ordonnance de 1560 les oblige à suivre une formation assurée par des chirurgiens- 1 Louis-Dominique Leroy, Annales de la société de médecine d'Anvers, Anvers, Imprimerie Buschmann, 1863, p. 173. Quant aux garçons, deux moururent jeunes. En effet, dans les familles où il y avait beaucoup d’enfants, il y avait incompatibilité entre le fait de doter ceux qui partaient et celui de conserver une exploitation suffisante pour y vivre. Découvrez Le travail des femmes au XIX<sup>e</sup>&nbsp;siècle analysée par Nadine FATTOUH-MALVAUD au travers d'œuvres et d'images d'archive. Il me reste à raconter mes souvenirs personnels, c’est moins ancien que l’autre siècle mais si la technique avait bien fait un bond, la condition des femmes de paysans n’avait pas tellement évolué avant la guerre de 40. La famille élargie retrouve toute son énergie en temps de gros travaux et de crise. L’aîné, Adrien, qui fut mon grand-père, fut pris en charge par la tante Yane qui l’éleva. Nous habitions sur la Route nouvelle. Trouvé à l'intérieur – Page 9LES VIGNERONS FRANCILIENS AU XVIème SIECLE : MYTHE ET REALITE On a peine ... des origines aux XIXème siècle , Paris , 1959 ; G. Fourquin , Les campagnes de ... (Ève insista pour qu'Adam mange le fruit interdit.) Ce n’était pas pareil dans toutes les maisons. Les champs, les veillées, les foires, puis, en fin de siècle, les bals qui réunissent, bicyclette aidant, les jeunes des villages environnants, multiplient les rencontres, fréquentations sous l’œil moralisateur et régulateur de la communauté, parfois permissive (maraîchinage de Vendée) et du curé de la paroisse. Gisèle Boutchakdjan : La bâtarde. Si besoin, je fais appel aux voisins, il n’y a aucun problème. Trouvé à l'intérieur – Page 26Au XIXème siècle , à la campagne comme en ville , cet artisan polymorphe est donc bien ... parfois aidé d'un ouvrier , toujours seconde par sa femme . La place de la femme dans la société est un objet de débat au xix e siècle. Blaise, j'accouche heureusement » (2). Après la guerre, elles ont épousé des rescapés qui leur ont fait plein d’enfants. Jeannette Boniface : La grand-mère de Saint-Bonnet-le-Château. Une courte séquence de 2 séances sur l'école primaire au temps de Jules Ferry qui s'inscrit dans le thème « Le temps de la République ». L’église était très près du Vizézy. 3. Elle s’est donc mariée pour lui échapper avec un brave homme qui a laissé le souvenir d’un rabâcheur pas très futé alors que sa femme était drôle et intelligente. Son entente avec son neveu Adrien était parfaite, elle le conseillait et l’avait même autrefois dissuadé d’épouser une fille parce qu’elle l’avait entendue parler trop grossièrement. Le pain blanc est très rare : Antoinette Siveton épouse Clair, eut quatre enfants : SANTÉ. Trouvé à l'intérieur – Page 363De plus, les femmes de la fin du 19ème siècle qui luttaient contre la traite des blanches introduisirent dans leur campagne le personnage du ravisseur ... Ce fut autre chose et c’est surtout les difficultés pour nourrir les siens qui affecta la brave Maria. Cf. Maria a abandonné ses lessives sans fin, elle n’a gardé que deux clients, ses anciens « patrons » et Madame Simone qui était devenue  son amie et qui l’avait beaucoup aidée pendant la guerre. Il faut souligner par ailleurs que cette organisation ne prévaut pas partout ; ainsi, dans les Pyrénées, la coutume ne tient pas compte de la différence des sexes et tente de résister à sa prise en compte par le Code civil. A son tour, Maria refusa le mariage arrangé par sa mère et épousa un paysan peu fortuné. 2. Elle est vêtue d’une longue jupe noire froncée à la taille, d’un caraco noir également ; ses cheveux gris sont tirés à l’arrière dans un chignon très serré, le tout recouvert par un chapeau de paille noire. Les champs obligatoires sont indiqués avec *, Vous pouvez utiliser ces balises et attributs HTML :
, Suite 2 : Témoignages de femmes à la campagne au 19ème siècle. Mais entre temps Pauline s’était engagée auprès du beau-frère de sa sœur aînée et n’a pas voulu revenir sur sa promesse. D’après ce que j’en sais ça devait être une sacrée bonne femme qui s’est d’ailleurs brouillée avec sa belle-fille. Trouvé à l'intérieur – Page 185Le placement des enfants en nourrice à la campagne touche à la fin du XIXème siècle 1/3 des enfants de Paris . Mais avec le développement des connaissances ... Cette confusion dans le vocabulaire reflète l’importance du couple dans les campagnes. Le monde en avait une image négative. Mon père en rapporte beaucoup et je me souviens bien de les avoir entendues moi-même ; en patois bien sûr, elles sont tellement plus savoureuses. La mise en nourrice concernera alors toutes les classes sociales. Et puis, on allait danser au bal des familles à Montbrison. Je sais que le matin elle déjeunait de café au lait alors que les autres préféraient la soupe (son estomac délicat et l’influence de « La Tante »). En hiver, on mettait sur la paillasse une couette (un sac de plumes) qui pouvait y rester toute l’année et justement ma grand-mère en avait une sur son matelas de laine (quand on a eu l’habitude…). Cf. Et puis avec les médias, les journaux, les livres, je suis au courant de plein de choses, tout m’intéresse et m’attire.Le progrès nous a apporté des salaires et, pour moi et bien d’autres, des retraites convenables. Encore que ça devait être exceptionnel, car disait ma grand-mère de La Trappe : « Du neuf à l’usé je ne sais pas si elle lavait ses tabliers 3 ou 4 fois« . Elle en assurait la prospérité grâce à son énergie et à son ambition. La traite des vaches se faisait à la main. Je revois aussi la couronne de savon et de crasse qui se déposait autour de la cuvette. Il faut dire qu’elle a eu un bon mari, dont les seules incartades étaient de rentrer en retard et un peu éméché le dimanche où la messe des hommes se passait au bistrot. Anonyme (lieu et époque non précisés) : La condition des ouvrières depuis 1850 jusqu'à la fin des "golden sixties" Page réalisée à partir du travail de Lydie Pirson. Marcelle Bréasson : Mémé tient un café restaurant. D’après ma mère c’était délicieux ! Mon grand-père employait d’ailleurs en général un petit domestique, quelque gamin pas toujours très futé et qu’il ne craignait pas de chahuter un peu comme cela se faisait partout, pour s’amuser, sans méchanceté. Cf. En ce temps presque toutes les maisons avaient un four et on faisait son propre pain. Ma grand-mère racontait savoir qu’il « taquinait » les bergères en sautant par-dessus elles avec son cheval et qu’il aurait fait danser (comment ?) L’agriculture, premier secteur de l’emploi féminin : L’invisible présence des « agricultrices » : La famille, cellule de production et de reproduction : le quotidien des femmes au XIXe siècle : Le maintien de la tradition paysanne. Heureusement, certaines femmes comme Mme Geoffrin, Mme du Deffand, Mme Necker, Olympe de Gouges, Julie de Lespinasse ou encore La Marquise de Pompadour réussirent à faire changer le regard que la société du XVIII ème siècle porte sur la femme Site de Olivier Clavaud, professeur de français au Lycée Bernard Palissy à Saint Léonard de Noblat. - Elles restent célibataires. A cette occasion, je pense que vous ne le savez pas, ce fut Madame Vachez, la sage- femme, qui a été la première femme de la Loire à avoir son permis de conduire et qui a possédé la première voiture à Montbrison. Elle avait été suppléée par une servante maîtresse mal aimée. En 1866, 70 % des femmes travaillent . Pour sortir de cette situation, mon père projeta de quitter sa ferme et d’aller travailler en ville. >Le poids des femmes dans l’agriculture : En 1851, dans une France de 35,7 millions d’habitants, la population rurale est de 26,6 millions ; la population active agricole serait en 1853 de 14,3 millions de personnes, dont 46 % de femmes. Être maman au 19ème siècle. J’ai été conçue lors d’une de ces rencontres (le jour de la fête patronale de la Saint-Barthélemy, m’a-t-on dit). Se vêtir coûte encore au début du 19ème siècle, aussi on . Il s'accordera de nombreux loisirs comme la chasse , les promenades , et pour finir il organisera un grand banquet aidé de ses nombreux domestiques, banquet constitué de viandes arrosées en sauces et riche en graisse , pour y annoncer le mariage de sa fille avec le fils d'un autre bourgeois riche . Anne, sa nièce, épousa « le Grand ». C’est pour ça que je vous en parle. Il fallait nourrir ses hommes qui travaillaient du matin au soir et Maria s’activait à la cuisine, gratinant des carpes farcies au four, mijotant un bon « barboton » au lard dans une énorme cocotte en fonte et réchauffant un délicieux civet de lapin toujours préparé la veille. Le chemin de fer Saint-Étienne – Clermont est né en même temps que Joséphine, mais pour elle et les siens, on se déplaçait à pied, n’hésitant pas de descendre jusqu’à La Bouteresse, et qui plus est avec une vache, pour aller à la foire. 4. Elle avait étrenné l’école de son hameau (il y a belle lurette qu’il n’y a plus d’école là-haut). La lecture de ces textes, si variés soient-ils, permet, néanmoins, de dégager quelques points communs entre eux ; et, de là, quelques idées générales sur les conditions de vie des femmes rurales à la fin du dix-neuvième, sur ces femmes méconnues que furent nos grands- mères. J’ai entendu aussi ma grand-mère me parler d’une femme qui dut être sa contemporaine. Au début du XIX e siècle, le monde paysan, marqué par une permanence des structures sociales et des techniques agraires, occupe une très grande place dans la société française.Même si son importance est minimisée par sa place politique et sociale, la grande majorité des Français est alors composée de paysans.Le système agricole est encore très fragile et soumis à de nombreux . 3) Pour la nourriture, c’est vrai que jusqu’à la fin de la dernière guerre, l’ordinaire de la campagne était la soupe de pain trempé, le lard et le fromage. Trouvé à l'intérieur – Page 300Ces liens commencent à subir des changements dynamiques à l'étape de l'industrialisation ( à partir du milieu du XIXème siècle ) , puis plus rapidement au ... Vingt ans après, Maria en parlait encore avec des sanglots dans la voix. vieille folle, vous remarier à cet âge, vous serez damnée« , elle répondit : « Non, non Monsieur l’abbé, je ne suis pas damnée. La Révolution française. Il me faisait faire des travaux pénibles pour mon âge : traîner de lourds seaux d’eau pour abreuver les bêtes, vanner le grain… que sais-je encore ! Elle épousa un voisin. Madeleine Fréry : Grand-mère savait lire et s’intéressait à la littérature de son temps. Elle avait alors la soixantaine et comme le curé lui disait (La Trape dixit) : « Oh ! Il existe à Paris, en 1906, une vingtaine de bureaux de nourrices où se recrutent les « nourrices sur lieu » et les « nourrices au loin ». Celui-ci l’emmena faire des achats pour la noce dont un cotillon. Trouvé à l'intérieurLes femmes ont continué à être actif dans les mouvements de réforme dans la seconde moitié du 19ème siècle. En 1851, ancien esclave Sojourner Truth a ... Madame Piroche : La lessive. Elle aimait un garçon plus jeune de Montpeurier mais il ne convenait pas à ses parents. LA journée d'un bourgeois au 19ème siècle En effet il apparaît que les foyers étaient organisés avec des rôles pour la femme, l’homme, les enfants et les grands parents. La part d’héritage de mon père, que je reçus à ma majorité, me permit d’acheter… « une blouse » ! La lessive des draps et des torchons était toute une affaire. Les habitations, le mobilier, les vêtements, l'alimentation ont profondément changé la vie des habitants de cette époque. On y consommait l’épais au fond de récipients d’huile ou l’huile de dernière pression. Elle était, m’a-t-on dit, très brave, très bonne et bien vaillante. En 1789, seul un petit nombre de sages-femmes était instruit. 500 francs restant dus que son frère réduisit à 400. Suite 3 : Témoignages de femmes à la campagne au 19ème siècle. Quand elle fut assez grande, on la plaça comme bonne chez un assureur de Montbrison et c’est grâce à ses patrons qu’elle rencontra Alphonse. Il n’y avait pas de notion de rendement mais il fallait être vaillant et on moquait ceux qui savaient « se chauffer le ventre au soleil » au lieu de travailler. Elle n . 1) L’instruction : Pendant que ses vaches broutaient sur les terres des communaux, Maria tricotait, elle en a fait des chaussettes, des bas, et des châles tout au long de son enfance et adolescence. Françoise Lafin : La dentellière. Dissertation de 13 pages en histoire contemporaine : XIXe, XXe et XXIe : Les femmes au XIXe siècle en France. Ma grand-mère m’a raconté qu’à une de ces « donnes » elle avait été amusée par la réflexion d’un enfant à sa mère : « Oh ! Fils d’un huissier qui avait son cabinet à Rechaussat mais devait mener belle vie, (il fréquentait J.-B. Elle était amoureuse d’un garçon mais les parents du jeune homme ne la trouvait pas assez riche. Le loup renonça et elle rentra aussitôt à la maison. Terrorisée,  l’arrière-grand-mère alla au Bost et Chaussecourte dit à sa bonne « Catherine, donne-lui six francs« . Le patron à sa mort lui légua son mobilier dont elle revendit une partie aux neveux héritiers. Elle avait hérité de ses sœurs et détenait une part importante de la propriété. Je ne sais pas si elle aura eu la plume aussi prolixe que moi. 3) Se marier et aller dans une autre maison. Trop âgé, mon grand-père n’a pas fait la guerre de 14. De plus ces articles permettent de se replacer à l’ époque avec ses principes, ses façons de pensées, ses coutumes, sa culture et sa religion. Le dimanche, elle allait au village à la messe et pour vendre œufs, beurre, fromage à « ses pratiques » à la sortie. Elle était mariée à un journalier pas très courageux qui lui a fait 18 enfants dont deux seulement survécurent à l’âge adulte. Quand elle fut assez grande, on la plaça comme bonne chez un assureur de Montbrison et c’est grâce à ses patrons qu’elle rencontra Alphonse. Elle a vu abandonner le  feu brûlant librement dans le foyer de la cheminée. A on retour à la maison, Mariette, avait sa chambre mais vivait avec la famille en s’achetant toutefois sa viande, un luxe auquel on n’était guère habitué à la campagne. Lucette Granger : Le joli tablier. Il faut toujours aller la chercher au dehors et parfois assez loin. C’était une voisine de ma grand-mère, un personnage pittoresque qu’elle retrouvait quand elles gardaient leurs bêtes ensemble sur les communaux. 5) Modestie des vêtements : Cf. A moins qu’il n’y ait plus d’anciens encore en vie et alors c’était tout l’ouvrage qu’il fallait assumer. Jeannette Boniface : Frugalité des repas : Grands-parents de Saint-Bonnet-le-Château. En 1923, Maria est à nouveau enceinte, cette grossesse tardive n’est pas désirée mais que faire avec peu de moyens ? Nuls droits politiques ou civils ne lui sont accordés. La mère et les enfants se chargeaient de la ferme mais elles ne pouvaient pas tout faire alors il finissait la nuit se faisant aider, entre autre, par ses filles pour battre le blé au fléau (quand je dis blé, c’est dans le sens patois, il s’agissait de seigle). Françoise Lafin : Un jeudi matin d’hiver : dentelle au carreau et récits bibliques. Il l’épousa. Pour les accouchements je sais qu’on allait chercher des draps sales qui attendaient la date de la grande lessive. Vers 1900, il n'y avait pas d'électricité, pas d'eau courante au robinet, pas de salle de bains ni de WC dans les fermes. 3) La fatigue que représentent les déplacements à la campagne, sans moyens de locomotion Pour retracer la vie des femmes de notre généalogie, quelques métiers sortent du lot, et permettent de retrouver des archives concernant nos ancêtres.Le métier de sage-femme est de ceux-là, en particulier au XIXème siècle.. En effet, à partir du début du XIXème siècle, il était nécessaire d'avoir reçu une instruction et d'avoir obtenu un diplôme pour exercer le métier de . Les premières viennent habiter dans la famille de l'enfant. 2. Une source d’eau minérale existe au Bicêtre. 10 avril 2012. Cf. La Mille est la seule fille qui se soit mariée ! Mais aussi la joie du passage saisonnier des vendeurs ambulants qui brise la monotonie de la vie à la campagne. Elle avait son certificat d’études. Un focus particulier est fait au fil du texte sur les titres de presse qui sont, au cours du 19e siècle, un vecteur important de l'accès des femmes à la parole publique. on était heureux, malgré tout ; il y avait les veillées qui occupaient une grande place. Et puis aussi l’aventure d’une femme qui se trouvant enceinte à la cinquantaine crut (ou fit croire) jusqu’à la naissance qu’elle avait un fibrome, si bien que le surnom en resta à l’enfant. Elle avait gardé jusqu’à la fin un esprit gai et une grande mémoire de son passé. En dehors de s'occuper de l'entretien de la maison, de la direction de la ferme et du jardin. Elle voulait se faire religieuse mais après une année passée au couvent, elle revint à la maison déconseillant à qui voulait l’entendre d’entrer en religion.Elle s’était fort ennuyée au couvent et avait trouvé les sœurs d’une méchanceté qu’elle n’aurait pu imaginer. - Marie Trouvé à l'intérieur – Page 300L'immortel auteur du Cours complet d'agriculture , Rozier , a vu une pauvre femme de campagne , propriétaire d'une seule poule , qui le soir lorsqu'elle ... Les femmes paysannes au XIXe siècle Au milieu du XIXe siècle, dans une France encore aux ¾ rurale, les femmes représentent presque la moitié de la population active agricole. Etes-vous bien entourée ? L’ardeur et la résistance au travail était la vertu n° 1. Ma tante m’a plusieurs fois évoqué ses premières années de mariage vivant avec ses beaux-parents. Achat Petite Bibliothèque De L'armée Française - 9 Volumes Concernant Les Campagnes Au 19ème Siècle à prix bas sur Rakuten. Tout ce que je viens d’écrire, je l’ai entendu raconter ou je l’ai lu dans les écrits de mon père et de tous ceux dont j’ai parlé ici. Les gens n’étaient pas riches mais heureux. Ils sont bien plus importants pour la sociabilité féminine, exclue des cafés et des chambrées masculines, que l’église dominée par le silence, certes rompu par les murmures et les regards, et vite oublié par les conversations animées du parvis.